Bizarrement, quand une personne commence à avoir une rentrée d’argent « stable », elle a tendance à se procurer des biens, que je définirais ici par tout ce qui est matériel : voiture, maison, vêtements, etc. Jusqu’ici, rien n’est faux ni mal, au contraire diraient certains ! En revanche, si on parle de quête du bonheur, tout est remis en question. Ne vaut-il pas mieux acheter des expériences ? Des expériences comme celles que regorge Barcelone…
Expérience personnelle
Certes, les biens matériels répondent en partie à ce besoin de bonheur puisqu’ils permettent d’assouvir un désir profond. Ce serait comme si j’avais envie d’être au volant d’une Ferrari et que finalement j’y suis arrivé ! Toujours est-il que je ressens bien plus de bonheur lorsque je me paie une escapade à Barcelone, flottant sur les vagues et le sable fin de la Mar Bella… Pensez-vous qu’il s’agit d’une préférence ? Que je préfère vivre une expérience plutôt que de m’acheter une Ferrari ?
Le pourquoi du comment
Malheureusement, le bonheur est fugace, et ce, quelle que soit la voiture dont j’ai envie. C’est véritablement différent des expériences et des connaissances que j’ai acquises à Barcelone. Là-bas, j’ai appris le catalan (quelques mots), je découvre une nouvelle culture et je maîtrise progressivement d’autres disciplines sportives. Quantitativement parlant, c’est plus de bonheur ! D’ailleurs, j’ai toujours hâte d’y aller et d’approfondir mes nouveaux acquis.
Le bonheur peut s’acheter… à Barcelone
Mettons-nous d’accord ! Le bonheur peut s’acheter à condition d’utiliser l’argent à bon escient. D’ailleurs, une expérience coûte bien moins cher qu’une Ferrari, sans vouloir dénigrer cette marque que j’adore ! Par exemple, une excursion nocturne en mer pour découvrir Barcelone by night avec un apéro à la fin coûte 40 euros. Soit 85 euros avec le vol Paris – Barcelone et l’entrée en boîte J. Que du bonheur…
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